Le maquillage cet allié beauté de toutes les femmes et qui n’a cessé de se développer de par la qualité de ses produits et les techniques utilisés. L’une des dernières techniques étant le maquillage semi-permanent qui malgré sa réputation peu flatteuse reste proposé dans les instituts de beauté. Le maquillage semi-permanent ou dermopigmentation est peu à la mode, car ce qui fait cliché c’est les contours très contrastés des lèvres et l’eye-liner ne grisonnant pas très joli.
Avoir recours à cette technique permet de réaliser un maquillage discret pour redonner de la couleur aux lèvres pour une beauté au naturel puisque la pigmentation est peu soutenue que la couleur initiale redessinant ainsi subtilement les traits du visage ou intensifier le regard ou modifier la ligne des sourcils. Les teintes proposées dans ce genre de maquillage sont diversifiées de sorte que chaque personne trouve la teinte qui lui convient.
Fini les noirs grisonnants et les marrons qui virent aux rouilles, essayez pour vos lèvres un rouge profond ou un rose pâle pour vos yeux cassez la routine du noir ou marron pour tenter le bleu ou le vert. L’intensité de la couleur est contrôlable selon le dosage du plus clair au plus criard tout le monde est servi.
Actuellement cette technique est surtout pour redéfinir les sourcils, ce qui est devenu en vogue et la préoccupation de toute femme consciencieuse de sa beauté, car de cette manière le résultat obtenu est très naturel étant donné que les nuances s’adaptent à la couleur de la peau, la technique doit sa précision à l’appareil utilisé qui permet le travail poil par poil.
La dermopigmentation n’est pas douloureuse comme on pourrait le croire mais peut être désagréable et l’application d’une crème confort pas trop riche en lidocaïne est recommandée.
Concernant la longévité du procédé, il est difficile de dire avec exactitude la période maximale de sa tenue, car cela dépend de plusieurs facteurs notamment l’exposition au soleil, la nuance choisie, le renouvellement cellulaire ou la nature de la peau qui définit sa tolérance selon l’acidité de cette dernière.